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A 15 heures, environ 25 adhérents ou sympathisants de l'association se sont retrouvés autour de Céline pour une visite guidée du château et de l'exposition temporaire LE CABINET DES LICORNES.

La visite a commencé par une œuvre du Parcours Archipel.
Dans la petite salle au rez-de-chaussée de la Tour des Ondes, Guillaume Linard Osario a placé dans l'embrasure de la fenêtre un écran de polycarbonate injecté d'encres qui absorbe la lumière du parc et plonge la pièce dans une atmosphère colorée.

Toujours au rez-de chaussée de la Tour des Ondes, dans la pièce attenante, on peut découvrir une œuvre du même artiste utilisant la même technique : écran de polycarbonate qu'il a préalablement injecté d'encres.

Nous sommes, cette fois-ci, dans le salon de l'Arlequin où Guillaume Linard Osario propose, toujours selon la même technique, un tableau "inspiré" de celui d'André Raffray.

Revenons vers l'an 1545 : dans la galerie des peintures, les deux licornes symbolisent la pureté de la jeune fille sacrifiée dans "Le Sacrifice d'Iphigénie".

Petit bond dans le temps : aux environs de 1630, une licorne figure au plafond à caissons de la Galerie des Peintures.

Ces licornes (ainsi que Pégase) ont inspiré Thomas Grünfeld.

La Chambre de Madame de Montespan accueille, durant l'été, des maquettes, collages, dessins et publications qui emplissaient l'appartement parisien de Yona Friedman.

Il avait une singulière passion, celle de dessiner des licornes. Il en a dessiné, découpé et peint beaucoup sur toutes sortes de support.

Il est temps de prendre un peu de hauteur. Après avoir gravi 72 marches, on arrive sur le toit du monde, enfin plus modestement, sur la terrasse du Pavillon des Trophées, exceptionnellement ouverte au public.

De là, on peut contempler le paysage environnant et deux immenses licornes agenouillées dialoguant paisiblement sur un grand tapis de verdure.

La visite est terminée mais on peut la prolonger ...
Dans le Comble Central, sont présentés quelques unes des publications de Yona Friedman, un ensemble de photographies documentaires de son appartement et les films de Camille Henrot et de Jean-Baptiste Decavèle qui permettent d'entrevoir sa personnalité.
Dans le Comble Renaissance, dans le cadre du projet Archipel, Florian de la Salle propose : Synclinal (2025) et Buvards (2023-2024).

Conformément à l'engagement pris l'an dernier, l'exposition photo NATURA MIRABILIS a été remise en place et peut, à nouveau, être appréciée dans les rues du bourg d'Oiron, de juin à septembre 2025.

A partir du château, il suffit de se laisser guider ...

... et, après avoir découvert quelques panneaux, de tourner à gauche ...

... pour emprunter la rue Sainte-Anne ...

... puis, après avoir longé la collégiale, ... parvenir à la place René Cassin ...

... enfin, après moult méandres ... arrivée place des marronniers ...

... terminus : rue des Quinconces !

Bien entendu, les quelques photos ci-dessus ne donnent qu'un bref aperçu de l'exposition-photo. Pour plus de détails, se reporter au menu : NATURA MIRABILIS.

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Cet après-midi là, à 16 heures, l'association des Amis de Oiron avait rendez-vous au château avec l'artiste plasticienne Isabelle Dehay pour une visite privilégiée du labyrinthe réalisé lors d'ateliers famille en avril dernier, juste avant son démontage.

L'artiste a expliqué le déroulement de l'activité : le labyrinthe a été réalisé avec des outils numériques, du scotch et du papier kraft, lors de deux journées de travail avec quatre groupes successifs.

Petite vue "de profil" pour contourner le labyrinthe.

Surprise : si on se place aux endroits adéquats, voilà ce qu'on obtient sur l'écran du smartphone.

Le labyrinthe représenté est le même que celui visible sur le sol de la galerie de peinture du château.

"Le sol porte un carrelage émaillé, très usé … Coloré en gris, vert, bleu, jaune, il devait former un tapis chatoyant … Onze compartiments carrés, encadrés de bordures (grises) occupées par des méandres (verts), présentent cinq dessins différents, assez compliqués, régulièrement disposés de part et d'autre du carré central … Le compartiment central est entièrement occupé par un labyrinthe … Aux yeux de Claude, ce motif ornemental pouvait aussi être un emblème chrétien en accord avec sa devise, puisque le labyrinthe est l'image des épreuves de la vie, du chemin difficile qui mène à son "terme", au salut".
(Le château d'Oiron et son cabinet de curiosités, Jean-Hubert Martin, Jean Guillaume…)

Cerise sur le gâteau : Isabelle a expliqué la méthode utilisée et a dévoilé une petite vidéo montrant les "artistes" au travail.

Dans la presse régionale :
Plaine-et-Vallées : le labyrinthe de Claude Gouffier revisité par une artiste au château d’Oiron

L'association a participé, dans la salle polyvalente d'Oiron, à cette deuxième édition organisée par l'ensemble des associations et la commune de Plaine-et-Vallées.

Dès 10 heures, à l'intérieur de la salle, les différents stands étaient fins prêts pour accueillir les visiteurs.

L'ADMR , l'Association du 30 Juin Raoul Marek et l'Association des Amis de Oiron

Les Marchapattes, Trad'y danse et la Gaieté Oironnaise

France Parkinson

Bien entendu, de nombreux stands, à l'extérieur de la salle attendaient eux aussi les visiteurs...

Le stand regorgeait de trésors à découvrir ...

La Gaieté Oironnaise et Trad'y danse en pleine action !

Après quelques explications portant sur le Oironier, les visiteurs se sont prêtés de bonne grâce au petit exercice attendu : glisser dans l'urne une proposition pour le futur mot de l'année portant sur le thème "Vivre ensemble".
66 bulletins ont été déposés dans la journée.

Dans la presse régionale :

A 19 h, au château d'Oiron, dans la Salle des Belles-Lettres rabelaisiennes,
65 personnes ont assisté au spectacle théâtral de Roland Geairon : « FOLIE DOUCE ».

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Après quelques petits préparatifs ...

... la salle était fin prête pour ....

... accueillir l'artiste !

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Ce n'est qu'un Au Revoir !

Sous un ciel plutôt gris, 299 adultes, une quinzaine d'enfants
et une dizaine de représentants de la race canine ont participé à cette édition.

Pendant que les premiers arrivés remplissent les formalités d'inscription

et prennent connaissances des différents circuits
(avec deux innovations : un circuit famille (7,5 km) et un circuit marcheurs aguerris (20 km) )

quelques bénévoles s'emploient à monter un chapiteau pour un poste de ravitaillement

Tout est prêt pour accueillir les randonneurs ....

Un petit tour du château est toujours bien apprécié.

La balade s’est clôturée avec le verre de l’amitié dans la cave du petit château de Leugny.

     

Dans la presse régionale :

Emmanuel Charbonnier
Regard d’artiste sur le paysage oironnais

En 2009, l’artiste a créé un parcours végétal environ 8 km autour du village, au cours duquel le visiteur, découvre 12 arbres répertoriés dont 5 plantés par l’artiste lui-même. Invité à porter un autre regard sur l’immensité de la plaine, la forêt (le Parc d’Oiron), le vignoble, les jardins, les clos…, le promeneur peut ainsi prendre conscience de la variété paysagère de cet environnement. Un livret explicatif original, réalisé par l’artiste lui-même, fait partie intégrante de l’œuvre. (consultable sur demande auprès des responsables).

Vous pouvez télécharger le parcours en cliquant ici.

du Lycée Pilote Innovant International de Jaunay Clan Lycée Pilote Innovant de Jaunay-Clan (juin 2009)

Le Lycée Pilote Innovant de Jaunay-Clan présente la particularité de proposer à ses élèves de tous niveaux, de la seconde à la terminale, des Activités Complémentaires de Formation (ACF). Après avoir visité le château et le village, ce groupe d’élèves nommé « Oiron ACF » a rencontré Emmanuel Charbonnier et a choisi Oiron pour installer cette réalisation artistique, dans le prolongement du parcours des « venelles de verre ». Reprenant l’idée du « point de vue », la sculpture se présente sous la forme d’une porte s’ouvrant sur le paysage – la campagne, le château, les saisons… – comme une invitation à le regarder d’une manière différente. Par le titre lui-même, le visiteur est amené à s’interroger sur la notion qu’il peut avoir de l’espace mais aussi du temps. La vue sur le château et la Collégiale donne une image du passé, du riche patrimoine que nos ancêtres nous ont laissé en héritage. Mais les humains que nous sommes, qui nous relayons sur cette Terre que nous ne faisons « qu’emprunter à nos enfants », ne sommes-nous pas aussi des « passeurs », de culture, d’éducation …

Les liens ci-dessous permettent de prendre connaissance des différents articles concernant l'exposition-photo parus dans La Nouvelle République et dans le Courrier de l'Ouest.

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En cette matinée d'automne, des adhérents de l'association Camera Natura et de l'Association des Amis d'Oiron se sont retrouvés devant la chapelle Jeanne d'Arc afin de découvrir ...

Ce titre "Et l'ombre" est tiré des dernières lignes du livre "Les Mémoires d'Hadrien" de Marguerite Yourcenar. Il est aussi le titre de l’installation principale.

Trois sculptures en verre bleutées tombent des combles de la chapelle.
Elles semblent flotter et peuvent même avoir de légers déplacements, vibrations en fonction de l’air.
Les projections de leurs ombres au sol jouent et retrouvent celles des vitraux.
Ces trois suspensions suivent la ligne des voûtes, comme une ligne dans l’espace, traversant la nef et le chœur.

Le Commissaire de l'exposition, Martial Déflacieux, explique le cheminement des artistes.
La sculpture s'appuie sur l'espace inaccessible au-dessus des voûtes : dépourvu de décor, il garde encore les traces des ciseaux à pierre qui ont servi à les tailler.
Moulées puis transférées sur le verre, ces traces descendent dans l'espace, montrant le seul geste de la percussion de l'outil sur la pierre.

Après avoir pris connaissance de façon olfactive de l'œuvre de Marjolaine Turpin : "Augures" (composée à partir de bois de Cade) à l'entrée de l'escalier descendant à la crypte, ...

... faisons connaissance avec "Mauvais Temps".
Des gazettes de verre et de porcelaine proposent un cheminement optique au travers de leur paroi.

Par un jeu de lumière, des petites pièces en verre marquées par le feu projettent sur les murs des auréoles lumineuses, traces des agressions qu'elles ont subies.

Toujours dans la crypte, Marion Chambinaud propose une série de 4 sculptures (grès, corde) : Composantes.

Après un dernier coup d'œil et quelques explications complémentaires …
il n'est de bonne compagnie qui ne se quitte.