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Quelques membres de l'association venus, à 17 h, pour effectuer des travaux ancillaires afin de préparer le matériel nécessaire à la nuit des étoiles de 20 h 30 ont eu la surprise de se voir préalablement proposer une visite guidée par des astronomes amateurs de l'observaThouars.

Pour prendre conscience de la lenteur relative de la lumière, il est proposé de "se mettre dans la peau" d'une particule lumineuse partant du soleil.
Chacun de nos pas va représenter 300 000 km et durer 1 seconde.

Chemin faisant, (à la vitesse de la lumière, 300 000 km/s), nous rencontrons Mercure puis Vénus.

Au bout d'environ 8 minutes, après ce trajet harassant (150 millions de km tout de même), nous arrivons sur Terre …

… à proximité des télescopes gracieusement mis à la disposition du public.

Une expérience de fabrication d'une brûlure solaire sur bois a été réalisée en direct avec un dispositif similaire à celui utilisé par l'artiste au Nouveau-Mexique.

Les 365 brûlures solaires ont été réalisées par Charles Ross, au Nouveau Mexique du 20 mars 1992 au 19 mars 1993.
Elles ont été obtenues en plaçant chaque jour, une planche peinte en blanc sous une lentille de Fresnel orientée vers le sud, parallèlement à l'axe des pôles.
Chaque plaque décrit, transcrit l’ensoleillement d’une journée.
La lecture se fait de haut en bas, de gauche à droite.
A droite, un membre de l'observaThouars a tenté la même expérience chez lui.

La double spirale inversée du sol décrit la course du soleil sur quatre mois de l’année.

Dans la pièce où sont exposées des œuvres de Yona Friedman, nous sommes accueillis par Martin qui a préparé quelques photos concernant cet être.

Commençons par les étoiles. La Licorne est une constellation moderne relativement peu lumineuse.
Elle occupe une grande partie de l'espace situé à l'intérieur du Triangle d'hiver (formé par les étoiles phares : Sirius, Bételgeuse et Procyon).

Maintenant, un peu de mythologie pour évoquer les trois constellations, Cassiopée, Céphée et Andromède.
Cassiopée, épouse du roi d'Éthiopie Céphée, prétendit un jour qu'elle-même ou que sa fille Andromède était plus belle que les Néréides. En colère, Poséidon envoya un énorme monstre marin, nommé Cétus, ravager les côtes du royaume.
Ecoutant un oracle, Céphée attacha sa fille Andromède à un rocher du rivage pour la donner en pâture au monstre.
Alors surgit Persée, sur le dos de son cheval ailé, Pégase. Il agita la tête de Méduse devant Cétus qui se transforma aussitôt en statue de pierre.

Delta Monoceros est une étoile de la constellation de la Licorne.

L'Elasmotherium est un genre fossile de rhinocérotidés qui a vécu en Asie au Pliocène et au Pléistocène.
La licorne a été représentée sur de nombreux tableaux.

Après avoir installé quelques tables, quelques chaises, quelques éléments de sonorisation .. et avoir balisé l'accès … tout était prêt pour la nuit des étoiles.

A 15 heures, environ 25 adhérents ou sympathisants de l'association se sont retrouvés autour de Céline pour une visite guidée du château et de l'exposition temporaire LE CABINET DES LICORNES.

La visite a commencé par une œuvre du Parcours Archipel.
Dans la petite salle au rez-de-chaussée de la Tour des Ondes, Guillaume Linard Osario a placé dans l'embrasure de la fenêtre un écran de polycarbonate injecté d'encres qui absorbe la lumière du parc et plonge la pièce dans une atmosphère colorée.

Toujours au rez-de chaussée de la Tour des Ondes, dans la pièce attenante, on peut découvrir une œuvre du même artiste utilisant la même technique : écran de polycarbonate qu'il a préalablement injecté d'encres.

Nous sommes, cette fois-ci, dans le salon de l'Arlequin où Guillaume Linard Osario propose, toujours selon la même technique, un tableau "inspiré" de celui d'André Raffray.

Revenons vers l'an 1545 : dans la galerie des peintures, les deux licornes symbolisent la pureté de la jeune fille sacrifiée dans "Le Sacrifice d'Iphigénie".

Petit bond dans le temps : aux environs de 1630, une licorne figure au plafond à caissons de la Galerie des Peintures.

Ces licornes (ainsi que Pégase) ont inspiré Thomas Grünfeld.

La Chambre de Madame de Montespan accueille, durant l'été, des maquettes, collages, dessins et publications qui emplissaient l'appartement parisien de Yona Friedman.

Il avait une singulière passion, celle de dessiner des licornes. Il en a dessiné, découpé et peint beaucoup sur toutes sortes de support.

Il est temps de prendre un peu de hauteur. Après avoir gravi 72 marches, on arrive sur le toit du monde, enfin plus modestement, sur la terrasse du Pavillon des Trophées, exceptionnellement ouverte au public.

De là, on peut contempler le paysage environnant et deux immenses licornes agenouillées dialoguant paisiblement sur un grand tapis de verdure.

La visite est terminée mais on peut la prolonger ...
Dans le Comble Central, sont présentés quelques unes des publications de Yona Friedman, un ensemble de photographies documentaires de son appartement et les films de Camille Henrot et de Jean-Baptiste Decavèle qui permettent d'entrevoir sa personnalité.
Dans le Comble Renaissance, dans le cadre du projet Archipel, Florian de la Salle propose : Synclinal (2025) et Buvards (2023-2024).

Conformément à l'engagement pris l'an dernier, l'exposition photo NATURA MIRABILIS a été remise en place et peut, à nouveau, être appréciée dans les rues du bourg d'Oiron, de juin à septembre 2025.

A partir du château, il suffit de se laisser guider ...

... et, après avoir découvert quelques panneaux, de tourner à gauche ...

... pour emprunter la rue Sainte-Anne ...

... puis, après avoir longé la collégiale, ... parvenir à la place René Cassin ...

... enfin, après moult méandres ... arrivée place des marronniers ...

... terminus : rue des Quinconces !

Bien entendu, les quelques photos ci-dessus ne donnent qu'un bref aperçu de l'exposition-photo. Pour plus de détails, se reporter au menu : NATURA MIRABILIS.

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Cet après-midi là, à 16 heures, l'association des Amis de Oiron avait rendez-vous au château avec l'artiste plasticienne Isabelle Dehay pour une visite privilégiée du labyrinthe réalisé lors d'ateliers famille en avril dernier, juste avant son démontage.

L'artiste a expliqué le déroulement de l'activité : le labyrinthe a été réalisé avec des outils numériques, du scotch et du papier kraft, lors de deux journées de travail avec quatre groupes successifs.

Petite vue "de profil" pour contourner le labyrinthe.

Surprise : si on se place aux endroits adéquats, voilà ce qu'on obtient sur l'écran du smartphone.

Le labyrinthe représenté est le même que celui visible sur le sol de la galerie de peinture du château.

"Le sol porte un carrelage émaillé, très usé … Coloré en gris, vert, bleu, jaune, il devait former un tapis chatoyant … Onze compartiments carrés, encadrés de bordures (grises) occupées par des méandres (verts), présentent cinq dessins différents, assez compliqués, régulièrement disposés de part et d'autre du carré central … Le compartiment central est entièrement occupé par un labyrinthe … Aux yeux de Claude, ce motif ornemental pouvait aussi être un emblème chrétien en accord avec sa devise, puisque le labyrinthe est l'image des épreuves de la vie, du chemin difficile qui mène à son "terme", au salut".
(Le château d'Oiron et son cabinet de curiosités, Jean-Hubert Martin, Jean Guillaume…)

Cerise sur le gâteau : Isabelle a expliqué la méthode utilisée et a dévoilé une petite vidéo montrant les "artistes" au travail.

Dans la presse régionale :
Plaine-et-Vallées : le labyrinthe de Claude Gouffier revisité par une artiste au château d’Oiron

L'association a participé, dans la salle polyvalente d'Oiron, à cette deuxième édition organisée par l'ensemble des associations et la commune de Plaine-et-Vallées.

Dès 10 heures, à l'intérieur de la salle, les différents stands étaient fins prêts pour accueillir les visiteurs.

L'ADMR , l'Association du 30 Juin Raoul Marek et l'Association des Amis de Oiron

Les Marchapattes, Trad'y danse et la Gaieté Oironnaise

France Parkinson

Bien entendu, de nombreux stands, à l'extérieur de la salle attendaient eux aussi les visiteurs...

Le stand regorgeait de trésors à découvrir ...

La Gaieté Oironnaise et Trad'y danse en pleine action !

Après quelques explications portant sur le Oironier, les visiteurs se sont prêtés de bonne grâce au petit exercice attendu : glisser dans l'urne une proposition pour le futur mot de l'année portant sur le thème "Vivre ensemble".
66 bulletins ont été déposés dans la journée.

Dans la presse régionale :

A 19 h, au château d'Oiron, dans la Salle des Belles-Lettres rabelaisiennes,
65 personnes ont assisté au spectacle théâtral de Roland Geairon : « FOLIE DOUCE ».

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Après quelques petits préparatifs ...

... la salle était fin prête pour ....

... accueillir l'artiste !

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Ce n'est qu'un Au Revoir !

Sous un ciel plutôt gris, 299 adultes, une quinzaine d'enfants
et une dizaine de représentants de la race canine ont participé à cette édition.

Pendant que les premiers arrivés remplissent les formalités d'inscription

et prennent connaissances des différents circuits
(avec deux innovations : un circuit famille (7,5 km) et un circuit marcheurs aguerris (20 km) )

quelques bénévoles s'emploient à monter un chapiteau pour un poste de ravitaillement

Tout est prêt pour accueillir les randonneurs ....

Un petit tour du château est toujours bien apprécié.

La balade s’est clôturée avec le verre de l’amitié dans la cave du petit château de Leugny.

     

Dans la presse régionale :

Emmanuel Charbonnier
Regard d’artiste sur le paysage oironnais

En 2009, l’artiste a créé un parcours végétal environ 8 km autour du village, au cours duquel le visiteur, découvre 12 arbres répertoriés dont 5 plantés par l’artiste lui-même. Invité à porter un autre regard sur l’immensité de la plaine, la forêt (le Parc d’Oiron), le vignoble, les jardins, les clos…, le promeneur peut ainsi prendre conscience de la variété paysagère de cet environnement. Un livret explicatif original, réalisé par l’artiste lui-même, fait partie intégrante de l’œuvre. (consultable sur demande auprès des responsables).

Vous pouvez télécharger le parcours en cliquant ici.

du Lycée Pilote Innovant International de Jaunay Clan Lycée Pilote Innovant de Jaunay-Clan (juin 2009)

Le Lycée Pilote Innovant de Jaunay-Clan présente la particularité de proposer à ses élèves de tous niveaux, de la seconde à la terminale, des Activités Complémentaires de Formation (ACF). Après avoir visité le château et le village, ce groupe d’élèves nommé « Oiron ACF » a rencontré Emmanuel Charbonnier et a choisi Oiron pour installer cette réalisation artistique, dans le prolongement du parcours des « venelles de verre ». Reprenant l’idée du « point de vue », la sculpture se présente sous la forme d’une porte s’ouvrant sur le paysage – la campagne, le château, les saisons… – comme une invitation à le regarder d’une manière différente. Par le titre lui-même, le visiteur est amené à s’interroger sur la notion qu’il peut avoir de l’espace mais aussi du temps. La vue sur le château et la Collégiale donne une image du passé, du riche patrimoine que nos ancêtres nous ont laissé en héritage. Mais les humains que nous sommes, qui nous relayons sur cette Terre que nous ne faisons « qu’emprunter à nos enfants », ne sommes-nous pas aussi des « passeurs », de culture, d’éducation …

Les liens ci-dessous permettent de prendre connaissance des différents articles concernant l'exposition-photo parus dans La Nouvelle République et dans le Courrier de l'Ouest.

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