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Cette photo (80 x 120 cm) est située rue des Quénards.

Les marronniers du parc se prêtent volontiers, par leur impeccable alignement, aux effets photographiques. Dans cette photo, il s’agit de jouer sur l’effet de flou dans la verticalité. Ainsi, les troncs semblent émerger d’un halo de verdure tandis que les feuillages se fondent en nuances de vert.

55 mm – f/3.5 – 1/2 s – 200 ISO

Sur le cartel

Entre le château et la collégiale, les arbres alignés se laissent photographier au gré de l’inspiration. Mouvement lent de balancier avec le boîtier, de bas en haut, doucement… et l’image apparaît, offrant de nouvelles perceptions du lieu.

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

Les vagabondages photographiques dans les espaces du parc du château offrent souvent de bonnes surprises. Par un matin d’automne, des gouttelettes d’eau sont venues orner cette feuille de trèfle de mille perles de cristal.

Délicatement suspendues,
Au fil d’une pilosité méconnue,
Mille et une gouttelettes,
Perles d’une bruine désuète.

100 mm macro – f/2,8 – 1/250s – 1000 ISO

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

Beauté de la forme, perfection de la spirale. Mouvement dans l’immobilité qui attire et fascine. Tourbillon minuscule, porteur de la graine de cyclamen.

Quelle stratégie pour se reproduire ! Cette graine de cyclamen sera posée à terre délicatement par sa spirale. C’est ainsi que le timide cyclamen d’automne se multiplie.

100 mm macro – f/2,8 – 1/160 s – 160 ISO

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

Ce matin d’avril débute sous le signe de la blancheur, dans le verger du château en pleine floraison. Je change d’échelle pour m’intéresser aux perles de rosée qui illuminent ce pissenlit prêt à disperser ses graines.

Assemblage de mise au point réalisé à partir de 10 photographies.
60 mm macro – f/5,6 – 1/400
s – 200 ISO

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

Les roseaux des marais plongent leurs reflets dans les eaux dormantes. Le silence, à peine troublé par le coassement des grenouilles, est propice à la méditation. L’ambiance y est légère comme cette plume fragile suspendue dans un halo de lumière. Au-delà de la rêverie, les douves du château sont un lieu de biodiversité où il n’est pas rare de surprendre un héron ou un renard en quête de nourriture. La végétation y est généreuse et les jeunes saules constituent une étape de choix pour les populations de passereaux.

165 mm – f/16 – 1/320 s – 100 ISO

Sur le cartel

Clair-obscur dans les douves du château. Les roseaux des marais plongent leurs reflets dans les eaux dormantes. Le silence, à peine troublé par le coassement des grenouilles, est propice à la méditation. L’ambiance y est légère comme cette plume fragile suspendue dans un halo de lumière.

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

La Dive du Nord fait partie des canaux créés en France pour approvisionner les villes, depuis les campagnes, en produits agricoles, voire pour commercer avec l’étranger. La canalisation de la Dive qui remonte aux XVIIIe et XIXe siècles est d’une longueur de 28 kilomètres entre Vienne et Deux-Sèvres. Son objectif était d’acheminer des céréales et du vin vers la Loire, en passant par le Thouet. Ses rives, à la ripisylve riche, constituent des lieux de promenade et un vrai paradis pour les insectes.

105 mm – f/20 – 1/320 s – 6400 ISO

Sur le cartel

Rives de la Dive, à Pas-de-Jeu, à une lieue d’Oiron. La graminée courbe sa tête, formant comme une crosse d’évêque, pour accueillir une épeire et sa toile. Animal et végétal unissent leur destin dans une frêle communion aux accents mystiques.

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

Les bords de la Dive au nord-est d’Oiron, aux confins de la Vienne, accueillent une multiplicité d’insectes. En dehors des nombreux odonates, de la libellule à la demoiselle, on croise, au détour d’un buisson, différentes espèces d’araignées comme cette épeire fasciée. Dotée d’un mélange de graphisme et de couleurs, cette araignée peut tromper ses futures proies mais cela ne suffit pas pour les attraper. Elle ajoute un réel savoir-faire pour tisser une toile, véritable chef d'œuvre architectural.

105 mm macro – f/8 – 1/640 s – 250 ISO

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

On l’appelle encore diable ou cherche-midi. Le gendarme (Pyrrhocoris apterus), parfaitement identifiable à son masque africain sur le dos, n’est autre qu’une punaise. Très grégaire, il se déplace sur les troncs par groupes importants. C’est un insecte piqueur, suceur et très commun dans les jardins et les potagers.

100 mm macro – f/8 – 1/40 s – 800 ISO

Sur le cartel

Dans les replis d’une écorce, a lieu un drôle de défilé. Une troupe de gendarmes en file indienne y conduit une inspection. Est-elle en quête du zénith qu’elle apprécie ou bien des ɶufs d’autres insectes pour en faire son festin ?

Cette photo (120 x 80 cm) est située place des marronniers.

En un clin d’œil, l'un des quatre grands cèdres de l’Atlas s’est fait malicieux. Vénérable et majestueux, il offre son ombrage et invite nos sens à la contemplation.
Le parc du château d’Oiron compte quatre cèdres de l’Atlas, d’une hauteur de 30 mètres. La plantation de ces arbres majestueux remonterait aux années 1880 et serait due à la famille Fournier de Boisairault.
Deux autres cèdres pourtant plus jeunes, plantés dans les années 1940 ou 1950, ont été victimes de la tempête de 1999.

150 mm – f/4 – 1/320 s – 320 ISO

Cette photo (115 x 172 cm) est située au 2, rue Madame de Montespan

Les fenêtres du château et leurs reflets ont inspiré cette composition qui met en scène les arbres du parc. Comme observées à travers une fenêtre, leurs silhouettes déroulent un panorama changeant au fil des saisons.

Assemblage de 6 photographies réalisées à l’aide de miroirs et de verres colorés.
105 mm macro – f/5 à f/6,3 – 100 à 320 ISO


Sur le cartel

Depuis les fenêtres du château, s’offre une grande variété végétale dominée par les grands arbres aux ramures majestueuses qui se prêtent volontiers à un regard onirique qui traverse les saisons.